samedi 9 mai 2015

UN PAYS À VENDRE... PAS CHER, PAS CHER...



ACTUALITÉ-1

http://affaires.lapresse.ca/economie/international/201302/11/01-4620589-la-chine-encore-friande-de-ressources-naturelles.

Les sociétés chinoises sont déjà fermement implantées dans l'industrie pétrolière de l'Alberta - en particulier dans les sables bitumineux, depuis que le gouvernement canadien a approuvé la prise de contrôle au prix de 15 milliards $ de Nexen, à Calgary, par China National Offshore Oil Corp., à la fin de l'an dernier.

Les sommes d'argent sous contrôle chinois investies dans le développement de l'énergie demeurent trois fois supérieures à celles qui sont versées dans l'industrie minière. M. Saint-Jacques a toutefois indiqué que la Chine était à la recherche d'autres occasions dans le secteur des ressources.


ACTUALITÉ-2

http://blogues.lapresse.ca/lapresseaffaires/dufour/2009/07/03/les-chinois-veulent-des-mines/

Le Canada doit-il se réjouir ou s’inquiéter de l’investissement de 1,7 milliard d’un fonds souverain chinois dans la plus grand minière canadienne qui est encore indépendante? La question se pose car le gouvernement australien s’est inquiété plus tôt cette année pour l’intérêt du pays de voir une autre société d’état chinoise, Chinalco, vouloir devenir un des principaux actionnaires du géant minier australien Rio Tinto.

Si le secteur des mines est un secteur névralgique pour l’Australie, il est aussi un secteur important pour le Canada


HISTOIRE-1

http://french.france.usembassy.gov/a-z-louisiane-achat.html

Le 30 avril 1803, les Etats-Unis achètent à la France pour 15 millions de dollars les territoires de la Louisiane. Les terres acquises par le gouvernement vont des rives du Mississippi aux montagnes rocheuses et du Golf du Mexique à la frontière canadienne. Cette négociation permet aux Etats-Unis de doubler la superficie de son territoire de l'époque. 



HISTOIRE-2
http://www.axl.cefan.ulaval.ca/amnord/usa_6-4histoire.htm

Pour Thomas Jefferson, l’un des «Pères» de la nation américaine et le troisième président des États-Unis, l’achat de la Louisiane à la France, un territoire plus vaste que les États-Unis alors constitués, devait renforcer l’identité politique du pays et rendre possible la naissance d'un grand État. De toute façon, pour Jefferson, le retour de la France en Amérique paraissait difficilement acceptable. Voici ce qu'il écrivit  (en français) en avril 1802 à Robert Livingston, son ministre américain à Paris:
C'est La Nouvelle-Orléans. La présence de la France est un défi à notre égard, alors que l'Espagne s'y trouvait sans ambition aucune. Il est impossible que la France et les États-Unis continuent à être amis quand ils se rencontrent dans une position aussi sensible. Du moment où la France prend possession de La Nouvelle-Orléans, nous devons nous marier à la flotte et à la nation britanniques.






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