mercredi 29 juillet 2015

MA FEMME DE PLAGE (01.08.15)

ACTUALITÉ

Le roi Salmane d'Arabie saoudite n'en finit plus de faire parler de lui et de ses vacances dans le sud de la France. Alors que la polémique sur la privatisation de la plage qui jouxte sa villa à Vallauris (Alpes-Maritimes) enfle toujours, le monarque aurait eu un nouveau caprice, selon Marianne. L'hebdomadaire affirme que le roi Salmane ben Abdelaziz Al Saoud a demandé qu'une femme CRS soit écartée du dispositif de surveillance de la plage. Un émissaire du roi a été envoyé lundi pour demander à la fonctionnaire de ne pas être présente à l'heure du bain des hommes de la famille saoudienne.
Choquée par cette demande, la CRS s'est plainte auprès de ses supérieurs. L'incident est remonté jusqu'au ministère de l'Intérieur et les responsables de la sécurité publique ont alors "insisté pour que tout cela reste off", rapporte Marianne. La Place Beauvau a de son côté souhaité le maintien de la fonctionnaire dans le dispositif de sécurité.

HISTOIRE-1

La peur des femmes, c’est la peur du regard de l’autre… La peur d’être mal perçu…
Cette peur est accompagnée de pensées négatives et de sensations physiques désagréables.
Pensées négatives :
  • « Je vais foirer. »
  • « Je vais me ridiculiser. »
  • « Je ne suis pas assez bien. »
  • « Si seulement je pouvais m’enfuir. »
Sensations physiques désagréables :
  • gorge nouée ;
  • mains moites ;
  • battements de cœur ;
  • tension dans le ventre ou la poitrine ;
  • jambes en mousse.

HISTOIRE-2

Cette péninsule de 60 kilomètres de long, au nord de la Grèce, a pris le nom de la montagne surplombant son extrémité, l’Athos. Là vivent quelques 2 000 moines, répartis dans vingt monastères aux allures de châteaux-forts.

Sur le bateau, il n’y a que des hommes. Et pour cause : l’État monastique autonome de la Sainte-Montagne est interdit « à toute créature femelle », selon l’abaton, une règle édictée en l’an 1045 par l’empereur Constantin Monomaque, toujours en vigueur. Appuyé au bastingage, un moine apprenti de 20 ans, Nictarios, coiffé d’un bonnet de maille noire plaqué sur de longs cheveux luisants, accepte d’en discuter. L’interdit sonne pour ce jeune Grec comme une évidence : « Le Mont Athos est le jardin de la mère de Dieu. Il est dédié à elle seule, pas à d’autres femmes. »

Un récit apocryphe fait état d’une visite de la Vierge sur le Mont, poussée là par une mer déchaînée. Éblouie par la beauté de la Montagne, elle l’a demandée à Dieu en cadeau. Nictarios sourit en regardant l’écume : « Bien des femmes ont essayé de débarquer ici, mais des vagues ont retourné leurs bateaux. Ce sont des interventions de la Vierge ! » Que ferait-il s’il voyait des femmes se noyer ainsi ? Il balaye la question. « Le cas ne s’est jamais présenté, que je sache. » Mais admettons que ça arrive ? Il est songeur. « Je prierais Saint Nicolas, patron des marins. »

HISTOIRE-3

Au KENTUCKY, il est interdit à une femme d’apparaître en maillot de bain sur une autoroute, sauf si elle est escortée par au moins deux policiers, si elle est blessée, si elle pèse moins de 45 kg (99 livres) ou plus de 100 kg (220 livres) (fait à souligner, la même loi s’applique aux… juments !)

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mardi 28 juillet 2015

GROS COUPS DE CHALEUR

ACTUALITÉ
LaPresse Canadienne 12/07/15

QUÉBEC - Les températures élevées des prochains jours, voire même des prochaines semaines, incitent la Commission de la santé et de la sécurité du travail (CSST) à rappeler aux employeurs et aux travailleurs qu'il est essentiel de prendre les mesures de prévention pour éviter les «coups de chaleur».

La CSST souligne que ces coups de chaleur provoquent des malaises importants et peuvent même être mortels.


HISTOIRE-1   
http://www.sciencepresse.qc.ca/actualite/2015/07/04/dinosaures-rechauffement-climatique


Les dinosaures du réchauffement climatique
C’est un réchauffement climatique —mais étalé sur des millions d’années, lui— qui a favorisé la domination du monde par les dinosaures.Pendant la première partie de leur longue histoire, il y a plus de 200 millions d’années, les ancêtres de toutes les grosses bêtes connues des enfants étaient en effet cantonnés aux régions nordiques, selon l’équipe de la géochimiste britannique Jessica Whiteside. Un climat instable oscillant entre très sec et très humide les aurait gardés loin des latitudes plus basses, concluent ces chercheurs à partir de l’analyse des roches sédimentaires recueillies au Nouveau-Mexique.

HISTOIRE-2
http://www.scom.ulaval.ca/Au.fil.des.evenements/1997/09.18/marathon.html

Le coureur de Marathon
En l'an 490 avant Jésus-Christ, les Athéniens triomphent des Perses à Marathon et le général Miltiade dépêche un messager pour porter la bonne nouvelle à Athènes. Au terme d'une course de 42 kilomètres, le messager livre son message, s'effondre et meurt. Fait véridique ou légende, cette histoire...inspire aujourd'hui des réflexions au professeur Michel Cabanac, du Département d'anatomie et physiologie (Univ. Laval) "Lorsque j'étais au secondaire, on nous enseignait que le coureur était mort d'épuisement, dit-il. On peut mourir de bien des choses mais pas d'épuisement. Ça ne se peut tout simplement pas."

L'autre hypothèse avancée pour expliquer le décès du valeureux coureur, la déshydratation, ne le satisfait pas davantage. "Le coureur déshydraté titube, zigzague et perd le contrôle de ses mouvements, dit-il. Il ne termine pas sa course en disant "Nous avons gagné!", pour mourir brusquement. Les indices me portent plutôt à croire qu'il serait mort d'un foudroyant coup de chaleur." Un accroissement rapide de la température du cerveau peut survenir à l'arrivée, quand la dissipation de chaleur créée par le mouvement de l'air pendant la course stoppe. 

HISTOIRE-3
https://www.lebonbon.fr/culture/histoire-de-canicules/

Le Moyen-Âge : ça flambait à tout-va
Cette période historique sombre et brutale fut certainement celle qui vit, et de loin, le plus de feux, incendies et autres bûchers de l’Histoire. Il faut dire qu’au moindre soupçon de sorcellerie, trahison ou irrégularité envers son suzerain, c’était la rôtisserie assurée. De même, il suffisait qu’une petite brouille entre votre seigneur et son voisin survienne pour que votre belle maison à base de torchis et de paille parte en fumée, mal placée qu’elle était sur le chemin des troupes barbares d’en face. Petite astuce bonbon à laquelle ils avaient pas l’air de penser des masses à l’époque : toujours se balader un seau d’eau à la main, c’est quand même pas compliqué. Bon du coup avec tous ces feux de joie – ou pas – dans tous les sens, il devait pas faire bien froid à l’époque de Jeanne d’Arc.


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samedi 25 juillet 2015

MAL AUX CHAMPS


ACTUALITÉ



(France) En travers de la route, des dizaines de tracteurs et leurs remorques chargées de paille bloquent le passage depuis lundi soir, ne laissant passer que les véhicules des employés du Mont St-Michel...


L’heure est grave en effet pour ces éleveurs qui évoquent les suicides de certains de leurs collègues, pris à la gorge par des emprunts devenus impossibles à rembourser. «Si on disparaît, ce sera des "fermes de 1 000 vaches" et des produits sans normes, sans rien, qui viendront de n’importe où», se désole Marc, 52 ans, visage buriné et chemise à carreaux. «Il ne faudra pas s’étonner si les gens tombent malade et si le monde rural se transforme en désert. Déjà, on voit de moins en moins de vaches dans les champs.» Producteur de jeunes bovins, cet éleveur estime perdre entre 200 et 300 euros pour chaque bête vendue, et ses cultures de céréales ne sont guère plus avantageuses. «Depuis deux ans, c’est la cata. Il faudrait être tous les jours sur Internet pour pouvoir vendre au bon moment.»


HISTOIRE-1


A Rome (vers la "révolution républicaine" des frères Gracchus, IIe siècle av. J.-C.)


Venant des pays conquis, l'or, les esclaves, le blé et les produits agricoles de subsistance affluent, c'est-à-dire que les prix augmentent, sauf ceux des produits agricoles appartenant à l'agriculture traditionnelle des Romains et des Italiens. Ainsi les paysans du Latium et du reste de l'Italie ne parviennent, ni à vendre leurs produits au prix qui les ferait vivre, ni à acheter de quoi s'équiper ou plus simplement entretenir leurs exploitations. Ils s'endettent auprès des plus riches et, du fait de la mécanique implacable de l'usure antique, se trouvent rapidement dépossédés de leurs biens au bénéfice des propriétaires les plus riches, lesquels constituent de grandes exploitations consacrées à des produits de grand rapport (par ex. vin ou huile d'olive). Les paysans ruinés en sont réduits, soit à devenir des ouvriers agricoles au service des grands propriétaires (situation où il leur sera difficile de se distinguer des troupes d'esclaves venus des pays conquis), soit à tenter fortune en ville où, dit-on, l'argent coule à flots.


HISTOIRE-2


En France (vers la "révolution" de 1789)


Une crise agricole : dès 1778, les prix agricoles sont en baisses due à une surproduction. En 1785, l’élevage est touché par une sécheresse exceptionnelle et une disette fourragère. Tous les exploitants agricoles voient donc leurs revenus baisser. La baisse du profit entraîne la réduction des salaires et la montée du chômage. Cette crise se répercute sur le commerce et l’industrie d’où un accroissement de la demande en subsistances et en produits manufacturés. La France se trouve en situation de pénurie (augmentation des prix).


HISTOIRE-3

Au Bas-Canada ( vers la "révolte" de 1837)


Selon (l'historien Fernand) Ouellet, les premières années du XIXe siècle marquent aussi le début de ce qui devient bientôt une crise générale de l’économie rurale. L’élément moteur de la crise réside d’abord dans le déclin par étapes de la production du blé dans les seigneuries. Au début des années 1820, le Bas-Canada est déficitaire dans sa production de blé si bien qu’il est obligé d’importer celui-ci en grande quantité du Haut-Canada. En 1825-1826, les surplus dans la colonie sont faibles et le produit fini est de très mauvaise qualité, de sorte qu’il est difficile de le transformer en farine. Le Bas-Canada devient, par conséquent, de moins en moins concurrentiel avec la production américaine et haut-canadienne.


HISTOIRE-4


France Grande famine de 1693-1694


En 1693 et 1694, deux années terribles, près de 1,7 million de Français trouvent la mort. Autant que durant la Première Guerre mondiale, mais pour une population deux fois moindre. C'est la grande purge des miséreux que la cherté du pain jette sur les chemins pour y mendier et qui meurent au hasard de leur errance.

Les 25 ans qui vont de 1690 à la mort de Louis XIV constituent le versant sombre du règne du Roi-Soleil. Les guerres s'enchaînent :celle dite «de la Succession d'Espagne» (1702-1714) vient juste après la déjà très meurtrièreguerre de la ligue d'Augsbourg (1689-1697).


HISTOIRE-5


Grande famine en Irlande


On lui attribue entre 500 000 et 1 millions de morts, suite à la dévastation des cultures irlandaises. Meurtrière et éprouvante, elle a marqué le XIXème siècle de part ses pertes considérables, et a favorisé l’émigration vers le nouveau continent.


1845 : Un champignon parasite, « le mildiou », se propage sur les cultures irlandaises. Sa prolifération est étonnamment rapide, et l’humidité permet son extension massive vers la plupart des plants de pomme de terre, nourriture qui était autrefois un des aliments essentiel des foyers de l’époque. Parasité par le mildiou, le tubercule de la pomme de terre devient alors inconsommable : il se flétrit et pourrit, interdisant toute forme de récupération partielle du légume.

Cette catastrophe naturelle a alors pour conséquence de plonger l’Irlande dans une pénurie alimentaire à grande échelle, accentuant la misère rurale existante, affamant ainsi la population, et la privant de toute possibilité de subsistance. Les populations les plus touchées sont celles de l’ouest de l’Irlande, ainsi que le comté du Kerry. Les décès par anémie, malnutritions et sous-nutritions engendrèrent une épidémie considérable de choléra, touchant les plus faibles et les plus démunis.


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