mardi 26 mai 2015

DE LA POUDRE AU VENTRE


ACTUALITÉ-1

Boom times in Silicon Valley call for hard work, and hard work — at least in technology land — means that coders, engineers and venture capitalists are turning to liquid meals with names like Schmoylent, Soylent, Schmilk and People Chow. The protein-packed products that come in powder form are inexpensive and quick and easy to make — just shake with water, or in the case of Schmilk, milk. While athletes and dieters have been drinking their dinner for years, Silicon Valley’s workers are now increasingly chugging their meals, too, so they can more quickly get back to their computer work.

ACTUALITÉ-2

Food 2.0. Nourriture 2.0. La révolution couve, elle s'apprête à conquérir nos assiettes. Elle est le fruit d'une alliance improbable entre écolos idéalistes, jeunes geeks de la Silicon Valley, milliardaires philanthropes et sociétés de capital-risque en quête de profits. Nous l'avons traquée dans une usine de poulet et boeuf haché de Columbia, une petite ville du Missouri, mais aussi dans une fromagerie californienne, chez un producteur d'"oeufs" de San Francisco ou dans un labo de Brooklyn. Son but ? Changer radicalement la façon dont se nourrit la planète, en substituant les plantes à l'élevage d'animaux.

ACTUALITÉ-3

Encore plus synthétique que les oeufs de Hampton creek, Soylent, créé par Rob Rhinehart, est une boisson composée de l'ensemble des nutriments nécessaires à la survie. A part un peu d'huile d'olive et du sel, rien dans Soylent ne s’apparente à de la "nourriture" au sens où on l'entend habituellement (la liste complète des ingrédients peut se trouver sur la page Wikipadia consacrée à ce produit).

Rhinehart a partagé ses découvertes dans un post de blog, "Comment j'ai cessé de manger de la nourriture". Il affirme que sa santé s'est améliorée sur de nombreux points grâce à un régime constitué exclusivement de Soylent. Aujourd’hui il s’est remis à "manger de la nourriture" mais, nous explique Techcrunch, 92 % de son alimentation reste constituée de Soylent. Pour commercialiser sa découverte, nous raconte le New Yorker, Rhinehart à commencé par une campagne de crowdfunding, qui s'est révélée un succès foudroyant (en deux heures les 100 000 dollars demandés étaient réunis). Par la suite, ils ont reçu l'aide de capital-risqueurs, comme Y Combinator et la société Andreessen Horowitz, qui a investi jusqu'à un million de dollars.


HISTOIRE-1

L'Ecriture (Sag 16 :20 Ps 77 :25) donne à la manne le nom de pain du ciel et de nourriture des anges, soit qu'elle veuille marquer qu'elle était envoyée et préparée par les anges, et que les anges, mêmes, s'ils ont besoin de nourriture, n'en peuvent avoir de plus agréable que celle de la manne. L'auteur de la Sagesse (Sap 16 :20,21) dit que la manne se proportionnait de telle sorte au goût de tous ceux qui en mangeaient, que chacun y trouvait de quoi contenter son appétit, et qu'elle renfermait tous les agréments du goût et toute la douceur des plus agréables nourritures.

Expressions que quelques-uns prennent à la lettre. Et il y en a même qui croient qu'elle prenait jusqu'à la forme des choses que l'on désirait. Josèphe l'entend d'une manière plus simple, en disant que ceux qui s'en nourrissaient la trouvaient si délicieuse, qu'ils ne désiraient rien autre chose ; et saint Augustin remarque avec beaucoup de sagesse que l'auteur sacré dit simplement que la manne avait cette qualité, de se conformer au goût de ceux qui en usaient, en faveur des enfants de Dieu. Et comment les Israélites auraient-ils pu se plaindre que la manne leur causait du dégoût (Nu 11 :6), si elle se fût toujours proportionnée à leur goût et à leur volonté?

HISTOIRE-2

Les plus importantes croyances alimentaires du Moyen Âge.
Au moyen âge, les aliments sont distingués les uns des autres selon qu'ils soient chauds ou froids, secs ou humides. Des qualités que l'on retrouve également dans le corps humain que l'on pense parcouru de quatre types de fluides appelés "humeurs" : le sang (chaud et humide), la colère (chaude et sèche), la mélancolie (froide et sèche) et le flegme (froid et humide). La proportion de chacune de ces humeurs détermine le tempérament d'un individu ; l'excès de l'une d'elle entraîne la maladie.

Dès lors, le choix des aliments a toute son importance pour maintenir intact le tempérament d'un individu. Si ce dernier est plutôt sanguin, sa nature sera confortée par la consommation de volailles, considérées comme chaudes et humides de par leur milieu d'origine, l'air. Pour des maladies telles que les fièvres ou les ardeurs, on conseillera au patient de manger des nourritures très froides comme les salades.

HISTOIRE-2

Les meilleurs remèdes alimentaires du moyen âge
Au moyen âge le chou, considéré comme l’un des meilleurs remèdes prévient l’ivresse et l’on garde l’urine de celui qui en a mangé comme remède pour les nerfs, dans laquelle on peut baigner les jeunes enfants en prévention de la débilité. Les asperges additionnées de cumin dissipent les flatuosités de l’estomac et du colon, éclaircissent la vue, soulagent les douleurs de la poitrine et du dos. 

Le castoréum extrait de la glande à musc du castor, séché et réduit en poudre entre dans de nombreuses recettes destinées à soigner les convulsions, la paralysie, le rhume, les douleurs d’estomac, éventuellement associé à l’ivoire, au corail, à l’or cuit, à l’argent, aux perles…

Les coings cuisinés au miel confortent la digestion, quant aux poires cuites avec du fenouil et du miel selon la recette du Mesnagier de Paris elles ôtent la migraine, annihilent toutes les mauvaises humeurs imaginables. Manger des châtaigne avant et après le repas soigne foie et cerveau et consommées crues redonne force et joie de vivre aux déprimés.

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