ACTUALITÉ-1
http://www.nytimes.com/2015/05/25/technology/in-busy-silicon-valley-protein-powder-is-in-demand.html
Boom times in Silicon Valley call for hard work, and hard work — at
least in technology land — means that coders, engineers and venture capitalists
are turning to liquid meals with names like Schmoylent, Soylent, Schmilk and
People Chow. The protein-packed products that come in powder form are
inexpensive and quick and easy to make — just shake with water, or in the case
of Schmilk, milk. While athletes and dieters have been drinking their dinner
for years, Silicon Valley’s workers are now increasingly chugging their meals,
too, so they can more quickly get back to their computer work.
ACTUALITÉ-2
Food
2.0. Nourriture 2.0. La révolution couve, elle s'apprête à conquérir nos
assiettes. Elle est le fruit d'une alliance improbable entre écolos idéalistes,
jeunes geeks de la Silicon Valley, milliardaires philanthropes et sociétés de
capital-risque en quête de profits. Nous l'avons traquée dans une usine de
poulet et boeuf haché de Columbia, une petite ville du Missouri, mais aussi
dans une fromagerie californienne, chez un producteur d'"oeufs" de
San Francisco ou dans un labo de Brooklyn. Son but ? Changer radicalement la
façon dont se nourrit la planète, en substituant les plantes à l'élevage
d'animaux.
ACTUALITÉ-3
Encore
plus synthétique que les oeufs de Hampton creek, Soylent,
créé par Rob Rhinehart, est une boisson
composée de l'ensemble des nutriments nécessaires à la survie. A part un peu
d'huile d'olive et du sel, rien dans Soylent ne s’apparente à de la
"nourriture" au sens où on l'entend habituellement (la liste complète
des ingrédients peut se trouver sur la page Wikipadia
consacrée à ce produit).
Rhinehart
a partagé ses découvertes dans un post de blog, "Comment j'ai cessé de manger de la
nourriture". Il affirme que sa santé s'est améliorée sur de nombreux
points grâce à un régime constitué exclusivement de Soylent. Aujourd’hui il
s’est remis à "manger de la nourriture" mais, nous explique Techcrunch,
92 % de son alimentation reste constituée de Soylent. Pour commercialiser sa
découverte, nous
raconte le New Yorker, Rhinehart à commencé par une campagne de
crowdfunding, qui s'est révélée un succès foudroyant (en deux heures les 100
000 dollars demandés étaient réunis). Par la suite, ils ont reçu l'aide de
capital-risqueurs, comme Y
Combinator et la société Andreessen Horowitz,
qui a investi jusqu'à un million de dollars.
Le Soylent
en vidéo (anglais) : http://www.glamour.com/health-fitness/blogs/vitamin-g/2015/05/silicon-valley-soylent
HISTOIRE-1
L'Ecriture
(Sag 16 :20 Ps 77 :25) donne à la manne le nom de pain du ciel et de
nourriture des anges, soit qu'elle veuille marquer qu'elle était envoyée et
préparée par les anges, et que les anges, mêmes, s'ils ont besoin de nourriture,
n'en peuvent avoir de plus agréable que celle de la manne. L'auteur de la
Sagesse (Sap 16 :20,21) dit que la manne se proportionnait de telle sorte
au goût de tous ceux qui en mangeaient, que chacun y trouvait de quoi contenter
son appétit, et qu'elle renfermait tous les agréments du goût et toute la
douceur des plus agréables nourritures.
Expressions
que quelques-uns prennent à la lettre. Et il y en a même qui croient qu'elle
prenait jusqu'à la forme des choses que l'on désirait. Josèphe l'entend d'une
manière plus simple, en disant que ceux qui s'en nourrissaient la trouvaient si
délicieuse, qu'ils ne désiraient rien autre chose ; et saint Augustin remarque
avec beaucoup de sagesse que l'auteur sacré dit simplement que la manne avait
cette qualité, de se conformer au goût de ceux qui en usaient, en faveur des
enfants de Dieu. Et comment les Israélites auraient-ils pu se plaindre que la
manne leur causait du dégoût (Nu 11 :6), si elle se fût toujours
proportionnée à leur goût et à leur volonté?
HISTOIRE-2
Les plus
importantes croyances alimentaires du Moyen Âge.
Au moyen
âge, les aliments sont distingués les uns des autres selon qu'ils soient chauds
ou froids, secs ou humides. Des qualités que l'on retrouve également dans le
corps humain que l'on pense parcouru de quatre types de fluides appelés
"humeurs" : le sang (chaud et humide), la colère (chaude et sèche),
la mélancolie (froide et sèche) et le flegme (froid et humide). La proportion
de chacune de ces humeurs détermine le tempérament d'un individu ; l'excès de
l'une d'elle entraîne la maladie.
Dès lors,
le choix des aliments a toute son importance pour maintenir intact le
tempérament d'un individu. Si ce dernier est plutôt sanguin, sa nature sera
confortée par la consommation de volailles, considérées comme chaudes et
humides de par leur milieu d'origine, l'air. Pour des maladies telles que les
fièvres ou les ardeurs, on conseillera au patient de manger des nourritures
très froides comme les salades.
HISTOIRE-2
Les
meilleurs remèdes alimentaires du moyen âge
Au moyen
âge le chou, considéré comme l’un des meilleurs remèdes prévient l’ivresse et
l’on garde l’urine de celui qui en a mangé comme remède pour les nerfs, dans
laquelle on peut baigner les jeunes enfants en prévention de la débilité. Les
asperges additionnées de cumin dissipent les flatuosités de l’estomac et du
colon, éclaircissent la vue, soulagent les douleurs de la poitrine et du
dos.
Le
castoréum extrait de la glande à musc du castor, séché et réduit en poudre
entre dans de nombreuses recettes destinées à soigner les convulsions, la
paralysie, le rhume, les douleurs d’estomac, éventuellement associé à l’ivoire,
au corail, à l’or cuit, à l’argent, aux perles…
Les
coings cuisinés au miel confortent la digestion, quant aux poires cuites avec
du fenouil et du miel selon la recette du Mesnagier de Paris elles ôtent la
migraine, annihilent toutes les mauvaises humeurs imaginables. Manger des
châtaigne avant et après le repas soigne foie et cerveau et consommées crues
redonne force et joie de vivre aux déprimés.
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