mardi 25 août 2015

UN REMÈDE POUR TOUT et rien


(publié 02.09.15)

ACTUALITÉ


Le vaccin universel garantissant une protection contre toutes les souches du virus de la grippe n’a jamais été aussi concret, deux études importantes publiées lundi pourraient accélérer le développement d’un vaccin antigrippal universel. Véritable « Graal » de la recherche sur la grippe, la mise au point d’un vaccin unique protégeant contre toutes les souches de virus grippaux, fait l’objet de recherches depuis plusieurs années, sans qu’aucun vaccin n’ait à ce jour été testé sur l’homme.


HISTOIRE-1

Depuis toujours, les dieux grecs s'amusent et festoient. Et puisque l'Olympe n'a pas d'aspirateur central, il faut bien que quelqu'un rafraîchisse tout ça. Quelques éternités de bacchanales commencent à se faire sentir...

Un jour, Zeus, le grand chef de tous les dieux, réfléchissait à ce problème...Zeus chargea donc Hermès, son fidèle messager, de trouver une solution... Rapide comme l'éclair, Hermès traversa l'immense mer et se trouva dans une étrange contrée. Discrètement, il observa les habitants pendant un certain temps. Il vit un prêtre, un chaman, faire brûler une herbe séchée. L'odeur était un peu âcre et sucrée mais combien purificatrice et apaisante. Hermès avait enfin trouvé la panacée qu'il cherchait. Il apporta donc à Zeus quelques feuilles séchées et quelques graines. Zeus fut ravi de trouver une herbe si puissante.

Depuis ce jour, puisque Hermès avait résolu un épineux problème pour les dieux, on appella l'herbe salvia, l'herbe salvatrice.

HISTOIRE-2

Croirait-on que vers 1670, un apothicaire avait acquis une solide réputation en commercialisant, notamment, une eau soi-disant minérale qui n’était en réalité que l’eau de la Seine mise en bouteille et censée offrir aux malades payant à prix d’or telle panacée, de trouver la santé au fond des fioles ?

Dans son chapitre Des jugements de ses Caractères, La Bruyère parle d’un certain Barbereau, qu’il désigne par B. B. et dont il parle comme s’étant enrichi à vendre en bouteilles l’eau de la rivière. C’est qu’en effet ce médecin se rendit surtout célèbre par la vente d’une soi-disant eau minérale.

HISTOIRE-3

LA PANACÉE. Panax quinquefolius, des millions de Chinois en voulaient, ne pouvaient s'en passer, étaient prêts à payer le gros prix pour quelques kilos et notre pays, à l’époque, en regorgeait. On est en Nouvelle-France dans les années 1720, les jésuites n'arrivent plus à cacher leur secret: le commerce de long court de la racine de ginseng à cinq folioles (Panax quinquefolius), qu'ils contrôlaient, passe entre les mains des marchands de la colonie et tous participent à la cueillette de la petite vivace qui foisonne dans l'ombre des érablières de la vallée du Saint-Laurent. L'extraction et l'exportation de cette ressource sont tellement rentables que sa découverte «produisit à l'époque autant d'émotion et de cupidité que beaucoup plus tard l'annonce des mines d'or en Californie. Les habitants, trouvant plus de profit à chercher du ginseng qu'à semer du blé, abandonnaient leurs terres pour courir les bois».

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