Un avion de 144 passagers c’est écrasé dans les
montagnes françaises. Le mystère plane autour de ce crash car tous les éléments
nous montrent le copilote comme un monstre. Serait-il le coupable parfait comme
pour le radeau de la Méduse.
ACTUALITÉ-1
http://tempsreel.nouvelobs.com/economie/20150324.OBS5404/ce-que-l-on-sait-de-la-compagnie-low-cost-germanwings.html?
C'est avec un très grand regret
que nous confirmons que le vol Germanwings 4U 9525 entre Barcelone et
Düsseldorf a été victime d'un accident au-dessus des Alpes françaises. Le vol
était assuré par un Airbus A320 et transportait 144 passagers et 6 membres
d'équipage.Tout le monde chez Germanwings et Lufthansa est profondément
bouleversé par ces événements. Nos pensées et nos prières vont aux familles et
aux amis des passagers et des membres d'équipage."
C'est avec ce message que
Germanwings accueille les visiteurs sur son
site internet depuis l'annonce du crash survenu mardi 24 mars.
La compagnie à bas coût a mis en place une ligne téléphonique à la disposition
des familles des passagers.
En France, Germanwings est
encore peu connue. Et pourtant, c'est la filiale low-cost de la compagnie allemande
Lufthansa. Elle a été créée en 2002 en réponse au développement sur le marché
européen des compagnies à bas coûts Easyjet et Ryanair.
L'histoire de la compagnie est
assez peu documentée. Sur son site, sur une fiche datée d'août 2014,
Germanwings indique qu'elle est implantée à Cologne, que sa base est l'aéroport
de Bonn/Cologne.Dirigée par Thomas Winkelmann, elle opère 76 avions (Airbus et
Bombardiers). En 2013, elle a transporté 16 millions de passagers
vers 130 destinations.Germanwings assurait jusqu'à peu essentiellement des
vols courts et des moyens courriers. Lufthansa lui avait d'ailleurs transféré
de nombreuses liaisons locales depuis deux ans.En pointe dans le low-cost,
Lufthansa est en train de lancer des vols longs courriers à bas coûts.
Des vols dont les pilotes sont
gérés administrativement par Sun Express, une compagnie charter
turque créée conjointement par Lufthansa et Turkish Airlines. Lufthansa connaît
depuis un an un conflit social dur en raison de la restructuration que suppose
cette stratégie low-cost. Sur un classement de A à E, Germanwings avait
été placée dans la catégorie B par le site securevol.fr, qui correspond à une
sécurité "correcte".
ACTUALITÉ-2
http://reseauinternational.net/assez-de-mensonges-sur-le-crash-de-lairbus-a320/
Si le copilote de l’A320 ne
s’est pas suicidé, toute la narrative officielle tombe à l’eau. Et d’où nous
vient cette narrative officielle des autorités françaises ? Des
Etats-Unis ! Le début de la construction de l’histoire officielle a été
lancé par le New York Times, repris par tous les médias du monde, y compris
français. Suicide bien commode comme beaucoup de suicides sans cause brandis
dès qu’une explication embarrassante doit être fournie.
Il suffit de sortir de l’écoute
passive du ronronnement médiatique et d’observer et analyser les discours, pour
se rendre compte que tout ce qui s’est dit jusqu’ici est un tissu de mensonges
encore plus vicieux que celui concernant le 11 septembre, car ici, il y a une
construction méthodique, brique après brique, du mensonge. On ne sait pas ce
qui s’est passé et on ne le saura peut-être jamais, mais on sait déjà que les
explications officielles ne tiennent pas la route et omettent beaucoup
d’éléments qui contredisent les discours.
HISTOIRE-1
Le naufrage de la frégate «la
méduse»
En 1816, le roi Louis XVIII,
décide d’envoyer une petite flotte de bateaux rempli de colons qui ont pour
mission de prendre possession des terres du Sénégal, rendu aux français par
l’Angleterre après la chute de Napoléon. La prestigieuse flottille est sous les
ordres du capitaine Hugues Duroy de Chaumareys. Le seul vrai danger du voyage
réside dans les bancs de sable d’Arguin proche de la côte mauritanienne.
Le navire la Méduse va naturellement foncer droit sur un banc de sable
malgré les conseils des autres bateaux. Alors, les marins décident d’alléger le
bateau pour se dégager du banc de sable en créant un immense radeau sur lequel
150 personnes s’entasseront. L'embarcation de fortune finira par dériver deux
semaines en pleine mer. Au final, ils ne seront que 15 survivants.
En France, les récits de ces 15
hommes et d’autres largement répercutés par la presse et notamment par le très
critique Journal des débats, provoquent dans la population un sentiment de
compassion, mêlé d’horreur et surtout de colère. Un scandale éclate dont les
répercussions politiques secourront la France de la Restauration. Le commandant
Hugues Duroy de Chaumareys devient l’homme à abattre et, naturellement, les
adversaires de la monarchie restaurée montent l’affaire en épingle… Le vieux
marin, qui s’apprêtait à demander à son ministre «quelques mois de congés pour
se rétablir», apprend soudain qu’une enquête est ouverte sur l’affaire de la
Méduse ! Presque étonné d’un tel déchainement, le Vicomte accepte
dignement de comparaître.
(Ferrand,
2012, Du sang sur l'histoire, p. 203, Flammarion)
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