mercredi 25 mars 2015

ACCIDENT : VITE, UN COUPABLE ?



Un avion de 144 passagers c’est écrasé dans les montagnes françaises. Le mystère plane autour de ce crash car tous les éléments nous montrent le copilote comme un monstre. Serait-il le coupable parfait comme pour le radeau de la Méduse.

ACTUALITÉ-1


http://tempsreel.nouvelobs.com/economie/20150324.OBS5404/ce-que-l-on-sait-de-la-compagnie-low-cost-germanwings.html?
C'est avec un très grand regret que nous confirmons que le vol Germanwings 4U 9525 entre Barcelone et Düsseldorf a été victime d'un accident au-dessus des Alpes françaises. Le vol était assuré par un Airbus A320 et transportait 144 passagers et 6 membres d'équipage.Tout le monde chez Germanwings et Lufthansa est profondément bouleversé par ces événements. Nos pensées et nos prières vont aux familles et aux amis des passagers et des membres d'équipage."

C'est avec ce message que Germanwings accueille les visiteurs sur son site internet depuis l'annonce du crash survenu mardi 24 mars. La compagnie à bas coût a mis en place une ligne téléphonique à la disposition des familles des passagers.

En France, Germanwings est encore peu connue. Et pourtant, c'est la filiale low-cost de la compagnie allemande Lufthansa. Elle a été créée en 2002 en réponse au développement sur le marché européen des compagnies à bas coûts Easyjet et Ryanair.

L'histoire de la compagnie est assez peu documentée. Sur son site, sur une fiche datée d'août 2014, Germanwings indique qu'elle est implantée à Cologne, que sa base est l'aéroport de Bonn/Cologne.Dirigée par Thomas Winkelmann, elle opère 76 avions (Airbus et Bombardiers). En 2013, elle a transporté 16 millions de passagers vers 130 destinations.Germanwings assurait jusqu'à peu essentiellement des vols courts et des moyens courriers. Lufthansa lui avait d'ailleurs transféré de nombreuses liaisons locales depuis deux ans.En pointe dans le low-cost, Lufthansa est en train de lancer des vols longs courriers à bas coûts.

Des vols dont les pilotes sont gérés administrativement par Sun Express, une compagnie charter turque créée conjointement par Lufthansa et Turkish AirlinesLufthansa connaît depuis un an un conflit social dur en raison de la restructuration que suppose cette stratégie low-cost. Sur un classement de A à E, Germanwings avait été placée dans la catégorie B par le site securevol.fr, qui correspond à une sécurité "correcte".

ACTUALITÉ-2
http://reseauinternational.net/assez-de-mensonges-sur-le-crash-de-lairbus-a320/
Si le copilote de l’A320 ne s’est pas suicidé, toute la narrative officielle tombe à l’eau. Et d’où nous vient cette narrative officielle des autorités françaises ? Des Etats-Unis ! Le début de la construction de l’histoire officielle a été lancé par le New York Times, repris par tous les médias du monde, y compris français. Suicide bien commode comme beaucoup de suicides sans cause brandis dès qu’une explication embarrassante doit être fournie.
Il suffit de sortir de l’écoute passive du ronronnement médiatique et d’observer et analyser les discours, pour se rendre compte que tout ce qui s’est dit jusqu’ici est un tissu de mensonges encore plus vicieux que celui concernant le 11 septembre, car ici, il y a une construction méthodique, brique après brique, du mensonge. On ne sait pas ce qui s’est passé et on ne le saura peut-être jamais, mais on sait déjà que les explications officielles ne tiennent pas la route et omettent beaucoup d’éléments qui contredisent les discours.


HISTOIRE-1

Le naufrage de la frégate «la méduse»

En 1816, le roi Louis XVIII, décide d’envoyer une petite flotte de bateaux rempli de colons qui ont pour mission de prendre possession des terres du Sénégal, rendu aux français par l’Angleterre après la chute de Napoléon. La prestigieuse flottille est sous les ordres du capitaine Hugues Duroy de Chaumareys. Le seul vrai danger du voyage réside dans les bancs de sable d’Arguin proche de la côte mauritanienne. Le navire la Méduse va naturellement foncer droit sur un banc de sable malgré les conseils des autres bateaux. Alors, les marins décident d’alléger le bateau pour se dégager du banc de sable en créant un immense radeau sur lequel 150 personnes s’entasseront. L'embarcation de fortune finira par dériver deux semaines en pleine mer. Au final, ils ne seront que 15 survivants.

En France, les récits de ces 15 hommes et d’autres largement répercutés par la presse et notamment par le très critique Journal des débats, provoquent dans la population un sentiment de compassion, mêlé d’horreur et surtout de colère. Un scandale éclate dont les répercussions politiques secourront la France de la Restauration. Le commandant Hugues Duroy de Chaumareys devient l’homme à abattre et, naturellement, les adversaires de la monarchie restaurée montent l’affaire en épingle… Le vieux marin, qui s’apprêtait à demander à son ministre «quelques mois de congés pour se rétablir», apprend soudain qu’une enquête est ouverte sur l’affaire de la Méduse !  Presque étonné d’un tel déchainement, le Vicomte accepte dignement de comparaître.  
    
(Ferrand, 2012, Du sang sur l'histoire, p. 203, Flammarion)

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