samedi 17 juin 2017

ROULER SUR.... L'AUTRE

(publié 17.06.17)

ACTUALITE


Sur le plan financier, Ottawa, Québec et Montréal verseront 98,5 millions de dollars aux propriétaires de la F1 pour obtenir le droit de présenter le Grand Prix du Canada de 2025 à 2029, soit une moyenne de 19,7 millions par année. Il s'agit d'une hausse moyenne d'environ 5 % sur le contrat actuel du Grand Prix, qui prévoit une subvention moyenne de 18,7 millions par année entre 2015 et 2024. Chaque ordre de gouvernement versera environ le tiers des subventions. Dans la prolongation du contrat 2025-2029, les gouvernements auront droit essentiellement aux mêmes redevances sur la vente des billets que dans le contrat 2015-2024.

En vertu de la nouvelle entente qui sera annoncée au cours des prochains jours, la Ville de Montréal paiera 48 millions pour construire les nouveaux paddocks à temps pour la course en 2019.

HISTOIRE-1

Ils sont réservés aux citoyens romains donc tout le monde ne peut pas accéder librement. Il n’y a pas de mélange des spectateurs selon leur rang, les spectateurs ordinaires sont répartis selon leur tribu. La plupart des courses ont lieu circus Maximus, qui contient 150 000 places sous Auguste. Il existe aussi le circus Flaminius, il est plus petit et moins utilisé. Le cirque est une arène allongée avec au centre un mur (spina) décoré de statuts. Ces courses, qui étaient précédées d'un défilé solennel (la pompa), débutait par le tirage au sort entre les 4 factions. Les jeux du cirque sont liés au retour victorieux de l’armée, afin de remercier les dieux.

Les cochers portaient les couleurs des partis sportifs (factiones) , aux quatre "factions" traditionnelles dont les couleurs représentaient, à l'origine, les saisons (bleu "veneta" : hiver, vert "praesina" : printemps, rouge "russata" : été, blanc "albata" : automne).  Les cochers étaient vêtus d'une courte tunique, renforcée de lanières de cuir au niveau de la poitrine pour éviter les fractures des côtes; des jambières protégeaient leurs mollets et leurs cuisses, et un casque leur tête. C'est dans le cirque que se déroulaient les courses de chars, tirés le plus souvent par des chevaux achetés en Afrique, en Grèce et surtout en Espagne. On y attelait parfois, par goût d'extravagance, chameaux, éléphants ou tigres. Les pilotes (cochers) devaient s'entraînera durant des années à conduire un char avant d'affronter la compétition : beaucoup mourraient et certains devenaient des héros pour lesquels on érigeait des statues.

Tous les coups étaient permis; les chars de droite pouvaient par exemple serrer au plus près les chars de gauche pour les faire s'écraser contre la spina. En cas d'échec, son corps était entraîné par les chevaux, rebondissant sur la piste et heurtant la spina ou les barrières extérieures. Généralement, les autres concurrents étaient incapables d'arrêter l'élan de leurs attelages; ils venaient se heurter au maladroit ou malchanceux conducteur et périssaient avec lui.

HISTOIRE-2

Voici un petit résumé des étapes majeures depuis 1900…
Une caisse à savon, au départ c'est un véhicule pour enfant composé d'un châssis, de quatre roues, de deux axes dont un est mobile. La première course de caisse à savon remonte en 1904 en Allemagne. Venu assister à la course de GORDON-BENNETT les amateurs de courses automobiles virent soudain surgir d'une ferme deux jeunes garçons munis d'un objet bizarre : il avait 1,50 m de long, 4 roues, un axe avant mobile et à l'avant un « carénage » qui ressemblait à un capot de voiture.

C'est au États-Unis en 1933, que les caisses à savon prennent un essor mondial. En pleine période de développement de l'automobile, un astucieux commerçant eut l'idée de joindre à l'emballage de ses savons réalisés à l'époque en planche de bois, le plan d'une voiture simple à construire et ajoute quelques pièces métalliques de fixation pour parfaire la construction.
L'Europe s'intéresse aux compétitions de caisses à savon dès l'après-guerre. C'est certainement une des conséquences inattendues de l'occupation des territoires allemands par les troupes américaines. Comme aux États-Unis, les grandes marques de voitures allemandes s'intéressent et encouragent les constructions et les courses.
En France c'est en 1950 à l'initiative de l'Automobile Club Français, de la régie RENAULT et de l'agence HAVAS avec le soutien du journal l'ARGUS DE L'AUTOMOBILE que se crée le premier DERBY AUTOMOBILE des moins de 15 ans.

Activités éducatives pour les uns, loisirs de groupes pour les autres, sport familial ou animations de village la caisse à savon se cherche, s'invente, se réglemente et se rassemble. A l'initiative de militants de l'enfance et de la ville de Vénissieux (Rhône) un prix national voit le jour en 1981. Les FRANCAS donnent rapidement les moyens de développer ces activités dans les centres de loisirs. Les prix départementaux se multiplient. Un comité national voit donc le jour permettant de réunir sur une seule structure toutes les tendances de la caisse à savon, permettant aussi l'organisation d'un championnat de France dès 1984. Celui-ci servant de sélection au championnat d'Europe mit en place.

HISTOIRE-3
https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_la_Formule_1#D.C3.A9buts_.281950-1957.29

En 1949, la Fédération internationale de motocyclisme organise le premier Championnat du monde de Grand Prix moto. En 1950, la Fédération internationale de l'automobile (FIA) l'imite en organisant le championnat du monde des pilotes automobiles qui adopte les règlements techniques et sportifs de la Formule 1. Le championnat se déroule en six Grands Prix en Europe de l'Ouest, plus la course de l'Indianapolis 500. Il ne s'agit en fait que d'institutionnaliser et regrouper les épreuves les plus prestigieuses sous une bannière commune. Seuls les quatre meilleurs résultats de chaque pilote sont retenus, les points étant distribués ainsi : 8, 6, 4, 3, 2 du premier au cinquième2. L'auteur du meilleur tour en course est gratifié d'un point supplémentaire et les points sont partagés si plusieurs pilotes se relaient sur une même monoplace. Les monoplaces arborent leur livrée nationale (bleu de France, vert britannique, jaune pour la Belgique, blanc pour l'Allemagne, rouge pour l'Italie…). Les écuries italiennes Alfa Romeo3,4, Ferrari5,6 et Maserati7,8 sont les plus aguerries et dominent les premières années du championnat9. D'autres constructeurs, comme le Français Talbot10 ou le projet britannique BRM11 rencontrent beaucoup moins de succès. De nombreuses écuries privées (qui ne construisent ni le châssis ni le moteur de leur monoplace) participent également aux courses.

La Seconde Guerre mondiale a laissé l'Europe exsangue et la création d'un championnat du monde de Formule 1 relève d'une douce utopie tant les constructeurs d'avant-guerre semblent désorganisés12. Les constructeurs et les pilotes allemands sont absents, les principaux concurrents sont italiens. Symbole des difficultés de la Formule 1 à se développer seulement cinq ans après la fin de la guerre, les Alfa-Romeo Alfetta 158 dont la conception remonte à la fin des années 1930 dominent outrageusement la saison9. Sur le tracé de Silverstone, le vétéran italien Giuseppe Farina13 remporte le Grand Prix de Grande-Bretagne et d’Europe14, première manche du nouveau championnat. En fin d'année, il devient également le premier champion du monde devant son coéquipier Juan Manuel Fangio15. Les Alfa-Romeo remportent toutes les courses du championnat16, la seule exception étant les 500 miles d'Indianapolis qui, s'ils sont inscrits au calendrier du championnat pour justifier son étiquette « mondiale », ont un règlement particulier qui exclut de fait toute prétention à la victoire d'une monoplace européenne17. Cette course marginale du championnat disparaîtra après 1960. Une preuve de son caractère exceptionnel est que l'édition de 1950 des 500 miles18 a lieu seulement quatre jours avant le Grand Prix de Suisse19. Et donc les équipes de Formule 1, présentes sur le circuit européen, ne peuvent pas la préparer et ne la disputent pas20.

HISTOIRE-4

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