(Édition 02.04.21)- BIS
ACTUALITÉ
Violence conjugale | Une femme repose dans un état critique à LaSalle | La Presse
La ministre responsable de la Condition féminine, Isabelle Charest, a qualifié d’inacceptable la série d’actes de violence contre des femmes. « Les événements des derniers jours sont tragiques et préoccupants. Des ressources existent, et c’est important d’y faire appel en cas de besoin », a-t-elle déclaré dans un tweet.
Même son de cloche du côté de la mairesse de Montréal, Valérie Plante. « Il faut que ça cesse. Cette violence envers les femmes est inacceptable. Après le féminicide dans St-Léonard [vendredi], voilà un épisode de violence conjugale à LaSalle. Ça ne peut plus durer », a-t-elle martelé dans un tweet.
HISTORIQUE 1 : Henri VIII et Anne Boleyn
https://www.lepoint.fr/histoire/comment-henri-viii-avait-planifie-la-mort-d-anne...
Henri VIII, le roi qui restera dans l'imaginaire collectif comme l'un des plus cruels de l'histoire d'Angleterre, a-t-il réellement mérité cette image ? The Guardian révèle que la découverte d'archives prouve que le monarque avait minutieusement préparé l'exécution d'Anne Boleyn, sa seconde épouse, morte le 19 mai 1536. Dans une missive à destination de Sir William Kingston, le gendarme de la tour de Londres, Henri VIII avait décrit la mort qu'il souhaitait pour sa deuxième femme, reconnue coupable de haute trahison et condamnée à mourir brûlée par les flammes ou décapitée. Dans ce document, Henri VIII, qui se disait « pris de pitié », avait alors opté pour la deuxième solution, jugée plus douce à ses yeux. « Nous demandons que la tête d'Anne soit coupée », faisait-il savoir.
HISTORIQUE 2 : Edouard II et Isabelle de France
Les femmes les plus cruelles de l’Histoire (vanityfair.fr)
En 1326, la reine consort d’Angleterre effectue une petite virée en France et en revient avec son amant, Roger Mortimer et une bande de mercenaires armés jusqu'aux dents. Ni une, ni deux, Hugues le Despenser (le favori du roi) est exécuté tandis qu’Édouard II est destitué et emprisonné, laissant le trône encore chaud à son fils, Édouard III. Son jusqu’au-boutisme. Imaginer Édouard II en train de croupir dans une prison ne suffit définitivement pas à Isabelle de France, qui aurait l’air de rien orchestré son assassinat, quasi indétectable à l’œil nu. Une mort pour le moins sordide joliment contée par l’historien Thomas More : « Dans la nuit du 11 octobre 1327, le roi reposant sur un lit fut soudainement agrippé. Tandis qu’un grand matelas le tint plaqué, un fer de plombier, chauffé au rouge, fut introduit dans ses parties secrètes, de façon qu’il brûlât des parties internes au-delà des intestins ». En apprenant la mort de son père, rôti à point, Édouard III est pris de remords : le jeune souverain fait pendre Roger Mortimer, puis exiler sa mère. Voilà enfin une famille à qui le monde n’enviera certainement pas les fêtes de Noël.
HISTORIQUE
3 : Hérode et Mariamne
Mariamne Hasmonéenne, la reine assassinée (autourdemesromans.com)
(Selon Flavius Josephe , « La Guerre des Juifs »)
Comme il devait partir en voyage, il (le roi Hérode) confia sa femme à Joseph, mari de Salomé sa sœur, personnage fidèle et dont cette alliance lui garantissait l’affection ; il lui donna en secret l’ordre de mettre à mort la reine, si Antoine le tuait lui-même. Là-dessus Joseph, sans aucune mauvaise intention, mais pour donner à la reine une idée de l’amour du roi, qui ne pouvait souffrir d’être séparé d’elle, même dans la mort, révéla le secret à Mariamme. Quand Hérode revint, il fit à Mariamme, dans l’effusion de leurs entretiens, mille serments de son affection, l’assurant qu’il n’aimerait jamais une autre femme. Alors la reine : « Tu l’as bien montré cet amour, dit-elle, par l’ordre que tu as donné à Joseph de me tuer ». En entendant ce propos, Hérode devint comme fou : il s’écria que Joseph n’aurait jamais trahi à la reine sa mission, s’il ne l’avait d’abord séduite. Égaré par le chagrin, il s’élança du lit et courut çà et là dans le palais. Salomé, sa sœur, saisit cette occasion d’enfoncer ses calomnies et fortifia les soupçons du roi contre Joseph. Affolé par l’excès de sa jalousie, il donna aussitôt l’ordre de les tuer tous les deux.
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