(Publié 08.07.2016)
ACTUALITÉ
Quelque 14 600 personnes
se sont rendues chez le médecin pour une morsure de tique, selon les
estimations de l’OFSP. Les chiffres réels seraient bien plus élevés
Pour cette année, l’OFSP
estime à 5400 le nombre de cas de borréliose de Lyme dus à des morsures de
tiques. Ce sont 2000 de plus que l’année passée à la même période. Seulement,
la moitié environ des patients atteints d’une borréliose de Lyme aiguë se
souviennent avoir été piqués par une tique.
Les chiffres réels
seraient donc sensiblement plus élevés, selon l’OFSP. Les premières heures
après la morsure sont cruciales. La tique transmet la bactérie responsable de
la maladie de Lyme douze heures après la piqûre. Il n’existe pas de vaccin pour
cette maladie.
HISTOIRE-1
L’éruption du Santorin a pu
engendrer une série de catastrophes naturelles dont l’ouverture de la mer qui a
permis à Moïse et à son peuple de fuir l’Égypte. La troisième et la quatrième
plaie « …toute la poussière du sol se changea en moustiques » « …des taons en
grand nombre entrèrent […] dans tout le pays d’Egypte » Le troisième et
quatrième fléau rentre dans le même cadre que celui des amphibiens. Mouches et
moustiques profitent également de la pluviosité pour pulluler dans les pays
chauds.
Si l’éruption du Santorin a
engendré des pluies exceptionnelles, certaines espèces animales en ont
certainement tiré profit pour se reproduire.On sait également qu’un changement
climatique brutal peut « déranger » certaines espèces qui se regroupent pour
fuir.
La cinquième et la dixième
plaie « …tous les troupeaux des égyptiens moururent » « …tous les premiers-nés
mourront dans le pays d’Egypte… »L’augmentation soudaine d’insectes parasites
comme les moustiques et les mouches est certainement lié au taux de mortalité
important du bétail et des nouveau-nés.
HISTOIRE-2
La peste a souvent été à
l'origine d'épidémies meurtrières comme celles qui eut lieu à Athènes en 434
127 av. J.-C. et en Europe au XIVe siècle, cette dernière d'ailleurs a entraîné
plusieurs millions de morts. Une des plus connu du grand public fut la peste de
Marseille qui sévit au XVIIIe siècle et celle d'Oran reprise dans son roman par
Albert Camus.
Pour en venir à bout, les
hommes ont dû pratiquer une lutte principalement contre les rats (dératisation
des bateaux obligatoire au début du XXe siècle) et les puces afin de les
détruire dans les bateaux et les ports. D'autres mesures telles que l'éviction
de certaines maladies (grâce à la quarantaine) permirent d'enrayer ce fléau en
interrompant le mode de transmission de l'animal (plus) vers l'homme.
De 1969 à 1993, une moyenne de
2356 cas humains de peste a été signalée annuellement par l'organisation
mondiale de la santé. Il existe encore quelques cas observés au Nouveau-Mexique
(États-Unis du Sud) au Turkestan, au Mexique, en Inde. Enfin, dans certains
laboratoires de recherche des cas de peste ont également été décrits.
HISTOIRE-3
Les rats et les poux
tourmentaient les soldats jour et nuit. Des rats gigantesques attirés par la
nourriture et les déchets des armées stationnaires contribuaient à répandre les
maladies et étaient un irritant constant. En 1918, les médecins identifièrent
également les poux comme les responsables de la fièvre des tranchées, qui
causait des maux de tête, de la fièvre et des douleurs musculaires aux soldats.
L’insalubrité des tranchées, particulièrement due à l’humidité froide et
persistante, provoquait la maladie du pied des tranchées, infection apparentée
aux engelures qui dans les cas les plus graves pouvait causer la gangrène et
nécessiter l’amputation.
HISTOIRE-4
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